Saturday, 2 March 2019

Épreuves locales des Jeux du Québec

COMPÉTITIONS. Dans le cadre de la 54e finale des Jeux du Québec 2019, du 1er au 9 mars, plusieurs épreuves auront lieu sur le territoire de l’ouest de la ville.

En voici la liste ainsi que les sites:

-Badminton, du 2 au 5 mars, dans les gymnases de l’école secondaire De Rochebelle.

-Ringuette, du 2 au 5 mars, sur les glaces du Centre sportif de Sainte-Foy.

-Curling, du 6 au 8 mars, sur les allées du Club de curling Victoria.

-Judo, du 6 au 8 mars, dans les gymnases de l’école secondaire De Rochebelle.

-Plongeon, du 6 au 9 mars, à la piscine du PEPS de l’Université Laval.

Pour plus d’information: quebec2019.jeuxduquebec.com

Métro Média


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Friday, 1 March 2019

Le Rouge et Or bien représenté aux Universiades d’hiver

Violence dans les écoles: deux employés de soutien témoignent

Val-Bélair – Soutien à une communauté en Mauritanie

COMMUNAUTÉ. Le club Rotary de Val-Bélair recevait ce matin Abdoul Eschraf, qui a livré un compte rendu d’un projet de sécurité alimentaire que le club a parrainé dans la commune de Lexeiba, en Mauritanie, en septembre 2017.

Le conférencier a notamment parlé de l’aménagement d’un périmètre agricole de 21 hectares sous la forme d’une coopérative. Le rendement représente 7 tonnes de riz par hectare et une production de fourrage pour le bétail sur une période variant de 7 à 8 mois par année.

Ce projet permet des revenus et des denrées de base pour de jeunes ruraux et leurs familles représentant une soixantaine de personnes. De plus, trois coopératives féminines environnantes se partagent cette nouvelle infrastructure. Le coût total de cette initiative locale représente 5062 $ dont 4062 $ proviennent du club Rotary de Val-Bélair.


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Commision scolaire des Premières-Seigneuries: 70% du personnel de soutien victime de violence

ÉDUCATION. L’année 2017-2018 a été difficile pour le personnel de soutien alors que la violence faite à leur endroit est banalisée selon le président du Syndicat du personnel de soutien de la Commision scolaire des Premières-Seigneuries (SPSCSPS-CSQ), Dominic Latouche.

«Le pire dans tout ça est qu’il y a plusieurs cas où les directions d’école demandent aux victimes de ne pas remplir de rapport d’incident. Il ne fait aucun doute que la violence est banalisée et que la situation est dangereuse alors que nous sommes beaucoup plus en mode réaction plutôt qu’en mode prévention.»

Selon le sondage réalisé au mois de juillet par la firme Ad hoc recherche, 70% du personnel de soutien de la CSDPS a subi des actes de violence. De ce nombre, plus d’une personne sur deux (59%) a subi de la violence physique.

Qui sont les agresseurs?

Les résultats du sondage identifient les élèves comme la première source de violence. Le personnel de soutien identifie les élèves dans 90% des cas répertoriés alors que les parents viennent au second rang avec 33% et les collègues au troisième rang avec 26% et la direction au dernier rang avec 17%.

La nature des gestes posés est très variée allant de coups (70%), aux lancements d’objets (68%), aux cris (64%), aux blasphèmes (63%), aux menaces et intimidation (58%). Les femmes sont plus à risque alors qu’elles composaient 79% des répondants du sondage.

«La majorité des cas répertoriés arrivent à l’école primaire. Ces résultats montrent qu’il est inacceptable que le personnel de soutien doive aller travailler en sachant qu’il subira de la violence. Les gestionnaires scolaires doivent prendre leurs responsabilités. Je pense aussi qu’il faut des conséquences à ces gestes commis par les élèves avec une gradation des sanctions. Certains épisodes arrivent aussi parce que le personnel de soutien doit faire plus que ce qui est demandé. Ce n’est pas à une secrétaire de surveiller un élève en crise placé dans le secrétariat par exemple», affirme le président.

Le nombre d’actes de violence n’était pas donné par le sondage, mais selon Dominic Latouche cela pourrait être bien pire. «Il y a quand même 44% des gens qui ne remplissent pas de rapport d’incidents. Il ne faut pas croire que ce sont des accidents qui arrivent seulement en service de garde, il y a beaucoup d’appels de secrétaires et de concierges là-dedans», termine le dirigeant.

La CSDPS se défend

La secrétaire générale de la CSDPS, Martine Chouinard, ne voulait aucunement banaliser la violence ou les résultats du sondage. «Les chiffres sont préoccupants, mais je tiens à mentionner que nous encourageons les victimes à remplir les rapports d’incident et non le contraire. Il est vrai qu’il y a des gestes de violence présents dans nos établissements avec des élèves plus à risque de par leurs conditions médicales, mais nous n’acceptons pas cette violence. Nous analysons les causes, les risques de récidive, les moyens à mettre en place pour ne plus que ça se reproduise. Nos établissements scolaires ont des ressources spécialisés comme des psychologues et psycho éducateurs pour intervenir en situation de crise et aussi prévenir les incidents et rendre notre milieu le plus sécuritaire possible.»


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Commission scolaire des Premières-Seigneuries: des conditions difficiles pour le personnel de soutien scolaire

ÉDUCATION. «La pénurie de personnel de soutien scolaire combiné à l’augmentation importante du nombre d’élèves affectent la qualité des services offerts aux élèves et ont des impacts nuisibles sur le personnel», selon le président de la Fédération du personnel de soutien scolaire (FPSS-CSQ), Éric Pronovost.

Les conditions précaires dans lesquelles œuvrent le personnel de soutien doivent être entendues rapidement par le ministre de l’Éducation Jean-François Roberge, croit-il. «J’évalue à environ 50% le pourcentage du personnel de soutien dans une équipe-école. Cependant, il n’est pas pressé depuis son entrée en poste de nous rencontrer. On s’est fait demander d’attendre, mais les besoins sont urgents.»

Une pénurie qui s’explique

Plusieurs facteurs expliquent la pénurie du personnel de soutien, mais aucun ne semble plus important que la violence faite à celui-ci. «C’est très préoccupant, il faut que ça cesse et il y a une sorte de banalisation autour de ça. Dans l’année 2017-2018, selon le sondage de la firme Ad hoc, 70% du personnel de soutien ont subi de la violence au travail et il y a plusieurs cas où la direction demande de ne pas remplir de rapport d’incident pour ne pas aggraver la situation. C’est très grave. La majorité des cas sont répertoriés au primaire, avec des élèves», affirme le président du Syndicat du personnel de soutien de la Commission scolaire des Premières-Seigneuries (SPSCSPS-CSQ), Dominic Latouche.

La précarité généralisée des emplois est aussi un élément important qui joue dans l’équation. «Le taux de précarité élevé touche 66% du personnel dont le trois quarts sont des femmes. Il devient parfois difficile pour celles-ci de boucler le budget sans un revenu suffisant. De plus, on ne prend pas le temps de former correctement un nouvel employé quand la situation se présente», ajoute Éric Pronovost.

La fatigue est aussi omniprésente chez les employés qui doivent travailler davantage pour atteindre les exigences. «Il y a 48% des membres du personnel qui doivent travailler durant les pauses ou prolonger la journée de travail. Je compare ça à un pompier qui n’a pas le temps de finir d’éteindre un feu et qui doit passer au suivant. Comme le ministre actuel est un ancien enseignant, j’ose croire qu’il comprend l’importance du personnel de soutien dans la réussite globale d’une école et qu’il nous reviendra rapidement» termine le dirigeant de la FPSS-CSQ.

Réponse officielle

«Ce sont évidemment des chiffres troublants. Nous sommes conscients que les conditions de travail des professionnels scolaires se sont dégradées sous le précédent gouvernement libéral. Notre gouvernement mettra de l’avant plusieurs mesures, dont l’ajout de professionnels pour donner des services directs aux élèves et l’ouverture de davantage de classes spécialisées, en fonction des besoins, dans les écoles. Il est important que chaque école soit un environnement sain et sécuritaire autant pour les élèves que pour le personnel. Nous sommes en communication avec les syndicats du réseau scolaire et nous sommes ouverts à de futures rencontres», affirme par voie de courriel la conseillère politique du Bureau du ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, Claudia Landry.


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Le tourisme autochtone de Wendake se distingue

Capitale-Nationale – Sept médailles pour le jour 1 des compétitions

MÉDAILLES. Le karaté a retenu particulièrement l’attention de la délégation de la Capitale-Nationale, hier, puisque des athlètes de cette di...